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Capteur de COV

Composés organiques volatils

Données fiables
sur les COV

TECHNOLOGIE GasPlug | CONCEPTION BREVETÉE
Volatile_organic_compounds
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Où se trouvent-elles ?

Les composés organiques volatils (COV) proviennent de la combustion de matériaux tels que le bois, le charbon ou l’essence, ainsi que d’autres sources liées aux transports et à l’industrie. Ils pénètrent également dans l’atmosphère avec l’évaporation d’essence, de peintures et de solvants de réservoirs hors sol. Une autre source importante d’émissions est biogénique : elle est due aux émissions naturelles des plantes.

En quoi sont-ils nocifs ?

Une grande partie des COV sont toxiques et peuvent provoquer des cancers, des mutations ou d’autres graves problèmes de santé. L’un des composés les plus nocifs de ce groupe est le benzène, pouvant causer des leucémies. Certains d’entre eux contribuent à la formation d’ozone et impactent donc la santé, l’environnement et le climat.

Ils contribuent également à la formation de CO2 et d’aérosols organiques secondaires qui réchauffent et refroidissent respectivement l’atmosphère.

La cartouche de composés organiques volatils est dotée d’un détecteur de photo-ionisation (PID) avec une source d’énergie lumineuse de 10,6 eV qui lui permet de mesurer avec précision les centaines de COV présents dans les environnements intérieurs et extérieurs. Sa conception ultramoderne limite les effets négatifs de l’humidité et assure 10 000 heures de fonctionnement continu.

Pour couvrir différentes applications, il existe 2 plages de mesure :

  • le type A, capable de détecter de faibles concentrations (mesurées en partie par milliard) dans l’air ambiant. L’algorithme de Kunak corrige les variations de température, d’humidité et de pression, ce qui permet d’obtenir des mesures précises à de très faibles concentrations (< 5 ppb) jusqu’à des concentrations >3 000 ppb, avec une variabilité minimale d’un capteur à l’autre ;
  • le type B, une version dotée d’une plus grande plage pouvant mesurer jusqu’à 40 ppm. Cette cartouche n’est pas conçue pour détecter des niveaux inférieurs à 1 ppm, car la précision du capteur diminue en cas de faibles concentrations.

 

Spécifications techniques

Type de produit
Détecteur de photoionisation
Unité de mesure
µg/m3, ppb(A)
mg/m3, ppm(B)
Plage de mesure(1)
0 – 3.000 ppb(A)
0 - 40 ppm(B)
Résolution(2)
1 ppb(A)
0,01 ppm(B)
Plage de température de fonctionnement(3)
De -40 à 60ºC
Plage d'humidité relative de fonctionnement(4)
De 0 à 99 %HR
Plage d'humidité relative recommandée(4)
De 0 à 99 %HR
Vie utile(5)
10.000 heures
Plage de garantie(6)
50 ppm(A)
60 ppm(B)
Limite de détection (LOD)(7)
1 ppb(A)
0,01 ppm(B)
Répétabilité(8)
5 ppb (A)
< 0,02 ppm(B)
Temps de réponse(9)
< 12 seg.(A)
< 10 seg.(B)
Précision typique (11) (12)
-
Précision typique R2 (10)
-
Pente typique(10)
-
Interception typique (a)(10)
-
DCO - U(exp) typique(13)
-
Variabilité intra-modèle typique(14)
< 3 ppb(A)
< 0,1 ppm(B)
  1. Plage de mesure : concentration mesurée par le capteur.
  2. Résolution : plus petite unité mesurable indiquée par le capteur.
  3. Plage de fonctionnement en température : plage dans laquelle le capteur peut fonctionner en toute sécurité et fournir des mesures fiables. (**) Pour le capteur PM Type A : –40 à 50 ºC avec chauffage (plus d’informations sur demande).
  4. Plage de fonctionnement en HR : plage d’humidité relative dans laquelle le capteur fonctionne correctement.
  5. Plage HR recommandée : plage d’humidité relative optimale pour les meilleures performances du capteur. Une exposition continue en dehors de cette plage peut endommager la cartouche.
  6. Durée de vie : période pendant laquelle le capteur fonctionne efficacement dans des conditions normales.
  7. Plage de garantie : plage de concentration couverte par la garantie Kunak.
  8. LOD (limite de détection) : mesurée en laboratoire à 20 ºC et 50 %HR. C’est la concentration minimale détectable comme significativement différente de zéro, calculée selon la Spécification Technique CEN/TS 17660.
  9. Répétabilité : mesurée en laboratoire à 20 ºC et 50 %HR. Accord entre résultats de mesures successives dans les mêmes conditions, selon la métrique de la Spécification Technique CEN/TS 17660.
  10. Temps de réponse : temps nécessaire pour atteindre 90 % de la valeur finale stable.
  11. Précision typique – R2 : statistiques obtenues en comparant les mesures horaires de l’appareil avec les instruments de référence lors d’essais de terrain entre –10 et +30 ºC dans divers sites. (*) Pour le capteur PM type B, l’erreur attendue pour PM10 est plus élevée en présence de particules grossières.
  12. Précision typique : pour les polluants réglementés, il s’agit de l’Erreur Absolue Moyenne (MAE) calculée lors d’essais de terrain (1 à 8 mois) entre –10 et +30 ºC dans plusieurs pays. Pour d’autres polluants, il s’agit de l’erreur attendue sur la lecture.
  13. DQO – U(exp) typique : objectif de Qualité des Données exprimé comme Incertitude Élargie au seuil réglementaire, basé sur la Directive européenne sur la qualité de l’air 2024/2881 et la Spécification CEN/TS 17660.
  14. Variabilité typique intra-modèle : déviation standard des moyennes de trois capteurs lors d’essais de terrain (1 à 8 mois) entre –10 et +30 ºC dans plusieurs pays.

Super-indices A, B, C, D : se réfèrent à différents types de cartouches liées au même polluant cible, mais avec des spécifications techniques distinctes.

  1.  

Il est essentiel de disposer d’un instrument capable de mesurer avec précision les niveaux de pollution et de fournir des résultats fiables pour prendre des décisions éclairées en matière de qualité de l’air et de santé publique.

Javier Fernández

CEO & Co-founder – Kunak